Perversion DUne Jouvencelle - Les Talons Rouges (18)
PERVERSION DUNE JOUVENCELLE - Les Talons rouges (18)
Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sur dAgathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Jacques leur fait connaître une nuit orgiaque dans un club échangiste de Toulouse.
De retour au château de Garralda, les deux surs se complaisent à nouveau dans des plaisirs lesbiens sans cesse renouvelés. Pourtant, elles nosent faire entrer une tierce personne dans leur intimité, de peur que le comte découvre leur lubricité. Jacques, léducateur, lamant, et surtout le Pygmalion des deux surs, ayant des obligations professionnelles pour plusieurs mois hors de France, nest pas revenu au château depuis déjà plusieurs semaines. Gaëlle, se sent des besoins dhomme ou de femme, qui puissent la changer de ses rapports saphiques et ueux avec Agathe. Elle a bien essayé de réveiller les sens assoupis de son époux, mais celui-ci ne sest pas montré réceptif, lui disant sans ménagement que ce nest plus de leur âge. Furieuse, mais nen laissant rien paraître, Gaëlle se jure que désormais, elle vivra sa sexualité comme elle lentendra, et que, même si son époux a des doutes sur sa fidélité, elle ne le détrompera pas. La seule chose quil lui faut garder, cest la réputation de leur famille et de leur rang. Aussi, elle décide de faire ses frasques le plus discrètement possible.
Au château, une partie du personnel étant partie à la retraite, quelques nouvelles têtes font leur apparition. La camériste qui soccupait delle depuis près de trente années est partie rejoindre sa famille dans lAveyron. Pour la remplacer, une toute jeune fille, qui bien que majeure paraît être une adolescente tellement elle est « empruntée ».
La jeune Corinne aide la quinquagénaire à se déshabiller. Cest la première fois que la jeune fille voit la comtesse entièrement nue. Elle ne peut sempêcher dadmirer ce corps si parfait qui na pas dâge, aidant laristocrate à entrer dans son bain. Gaëlle lui demande de la savonner et, pour plus de facilité, elle lui demande de la rejoindre dans la baignoire qui peut contenir facilement deux personnes. Corinne rougit, ne sachant ce quelle doit faire, alors que Gaëlle perdant patience lapostrophe.
Eh ! Bien ma fille ! Quattendez-vous ? Déshabillez-vous, vous nallez pas entrer tout habillée dans mon bain. Allons ! Dépêchez-vous, ou je vais perdre patience.
Corinne ne sait plus où se mettre, toute rougissante, elle se met rapidement nue, enjambant la baignoire lentement, ce qui permet à Gaëlle de reluquer lentrejambe de la jouvencelle qui laisse apercevoir la minuscule fente à peine ourlée de rose, masquée par une touffe de poils roux. Corinne ne sest pas rendue compte du regard appuyé de sa patronne sur son intimité, dailleurs trop intimidée elle ose à peine la regarder. Gaëlle lui demande de la savonner avec le liquide onctueux dun bain moussant. La jeune fille, consciencieusement, frotte avec une éponge le dos et la poitrine de la comtesse, qui lui demande de le faire avec ses mains pour plus defficacité. La jeune fille masse donc délicatement les petits seins arrogants de la belle châtelaine qui se retient pour ne pas soupirer de la volupté quelle éprouve à se faire caresser par une si jeune pucelle. Elle a très vite compris que sa jeune camériste est tout à fait innocente, se promettant de lui faire découvrir des jeux pervers et pourquoi pas, lorsquelle sera bien éduquée, pourra-t-elle loffrir à son amant qui devrait être ravi davoir loccasion de dévirginiser cette adolescente.
Alors que Corinne lave les jambes et les cuisses de sa patronne, celle-ci lui demande de laver aussi son pubis. La jeune fille reste interdite, mais Gaëlle, lui prenant son poignet, lattire entre ses cuisses, lui faisant effleurer ses doigts sur sa vulve entrouverte.
Allons mignonne, tu te laves bien ta fente, alors fais comme si tu le faisais pour toi, voilà, cest bien, entre du savon à lintérieur, je ne crains rien tu sais à mon âge, je ne suis plus vierge. Oui, ma chérie, lave bien ma minette, introduis tes doigts, naie pas peur, je veux que tu nettoies le plus profond de ma chatte ma chérie. Oui ! Continue, je sens que je vais être bien propre. Allons ne tarrêtes pas, il faut laver longuement pour sassurer que tout est bien net. Oui, ta main est toute menue, elle peut ainsi entrer complètement dans ma fente. Allons ma chérie continue, tu me fais du bien.
Ladolescente sest bien évidemment « touchée » depuis lâge de douze ans environ, et cela lui arrive assez souvent, surtout au Printemps, lorsque cela la démange entre les cuisses. Mais elle ne pensait pas quune femme aussi respectable et aussi « vieille », puisse prendre du plaisir ainsi. Elle sent son cur qui bat à cent à lheure, émotionnée parce quelle est en train de faire à sa patronne, surtout que celle-ci, prenant son poignet et lattirant en force dune main ferme, réussit à placer sa main au bord du vagin aristocratique. Elle ose tout de même tourner sa main et agiter ses doigts dans les replis de la fente vulvaire, arrachant des gémissements de contentement à sa maîtresse. Celle-ci, la prenant dans ses bras lembrasse sur la joue dans un premier temps pour laisser glisser ses lèvres sur la bouche de ladolescente, qui, pétrifiée, nose pas protester et se laisse caresser ses petits seins à peine éclos.
La comtesse, profite du saisissement de la jouvencelle pour lembrasser profondément, affolant encore plus la jeune fille, qui répond maintenant au baiser féminin avec une fougue juvénile. Elle resserre soudain fortement les cuisses, sur la main qui sest introduite dans son entrejambe, gémissant lorsque les doigts parcourent sa vulve virginale, sursautant sous la caresse insidieuse de son clitoris, souvrant enfin, comme une fleur qui sépanouit, à la volupté quelle ressent de lensemble des caresses et du baiser qui affolent ses sens à peine éveillés.
Allons ma chérie, naie pas peur, nous allons nous aimer et je vais oublier ton forfait. Mais il faudra que tu te montres toujours gentille comme ce soir nest-ce pas ?
Oui Madame la comtesse, je ferai ce que vous voudrez. Je suis bien avec vous et vous me faites des choses qui
qui
me font du bien.
Cest alors que Gaëlle entreprend dinitier sa proie au cunnilingus. Se glissant entre les jambes de la petite, elle pose sa bouche sur la fente à peine entrouverte, léchant la vulve de haut en bas puis de bas en haut, affolant la pauvrette qui nen revient pas de voir sa patronne lui embrasser son minou.
Pourtant, la jeune Corinne sursaute lorsque la langue décapuchonne son minuscule clitoris, le titillant et le léchant, provoquant des réactions spasmodiques de son bassin qui se soulève vers la bouche qui broute si bien son intimité. Toutefois, celle-ci nest pas au bout de ses surprises, car la comtesse, enjambant la donzelle, vient lui offrir sa moule au raz de ses mirettes. Celle-ci voit, pour la première fois de sa vie, le sexe dune femme qui baille largement de ses grandes lèvres déployées en laissant sécouler une substance crémeuse et odorante.
La jeune Corinne, mis en émoi par les spasmes voluptueux dont son ventre est lobjet, fouillé par la bouche et la langue de la comtesse, bien que quelque peu bouleversée par ce qui lui arrive, ose tout de même, timidement dabord, puis senhardissant peu à peu, à effleurer de ses lèvres les chairs intimes de laristocrate. Celle-ci, comprenant que la partie est gagnée, se laisse aller au plus près de la tête de ladolescente, offrant sa vulve à la bouche ine. Corinne ose enfin sortir sa langue et lécher la douce pulpe des chairs vaginales, titillant de la pointe de sa langue le bouton clitodirien qui bande dune excitation extrême. Gaëlle ne peut sempêcher dencourager la gamine à poursuivre son exploration buccale.
Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! C'est délicieux. Mange-moi ma chérie. Oui ! Lèche-moi bien, Oh ! Quel bonheur ! Oh ! Oui ! Je t'en prie mords-moi le clito
Allons nhésite pas, mordille avec tes petites dents ma petite Corinne ! Oui ! Comme ça, n'arrête pas surtout, Oh ! Encoorrrr !... Tu me fais mal, mais continue ma chérie.... Oh ! Oui ! Oui ! Ah ! Aaarrrrrrrr....... Aaaaarrrrrrrrrr...
Les deux femelles, affolées par leurs sens enfiévrés se gouinent avec fureur, se broutant leur chatte sans interruption. Gaëlle apprécie tout particulièrement cette vulve encore vierge qui laisse suinter pourtant à travers quelques fissures de lhymen non encore défloré, une mouille délicieuse quelle lape avec un régal jouissif, se délectant de ce fruit vert quelle sent vibrer sous ses lèvres, surtout lorsquelle mordille délicatement le microscopique bourgeon rose quelle se promet de faire grossir prochainement sous les attouchements réguliers quelle ne manquera pas de lui octroyer.
De son côté, Corinne, est encore émue de la découverte de son corps et surtout de ses sens éveillés par cette aristocrate diabolique, qui offre à sa bouche toute son intimité de femme mûre. La moule béante exsudant un parfum épicé, dont sécoule une liqueur au goût suave, presque sucré, attire ses lèvres et sa langue, léchant, suçant et mordillant même parfois les replis de la vulve et la protubérance turgescente qui darde orgueilleusement sous la caresse linguale. Curieuse, la jeune fille senhardit jusquà disjoindre de ses doigts les replis de la conque vaginale, fixant avec intérêt les chairs roses puis orangées devenant rouge sang au plus profond de la matrice. Alors, elle hasarde un, puis deux doigts dans la fente vulvaire, raclant de ses doigts les muqueuses onctueuses et ultrasensibles qui tressaillent sous ses attouchements imprécis, allant le plus loin possible dans lexcavation offerte, alors que Gaëlle se laisse aller à de doux gémissements.
- Encoooooorrrrrrrmh...... mhhh...... mhhhhhhh Mhhhh.... Mhmmmmmmmmmm Ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiii... Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......... Oh ! Ma chérie comme tu me fais jouir ! Oh ! Oh ! je
je
je jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Ooooh ! Oh !.......... Mhhhh.... Encoorrrr !... Encoorrrr !... Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je
Je
.. jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Aaaaaaaaaaahhhh
La petite, comme il se doit, surexcitée par les râles de volupté de la comtesse, farfouille avec bonheur dans les chairs qui sécartèlent sous ses doigts inhabiles. Elle a soudain laudace dintroduire sa menotte tout entière dans la cavité, à présent exagérément dilatée, laissant sécouler des flots de mouille qui lubrifient la gaine vaginale ainsi que la main de ladolescente qui, sans le savoir, coïte le vagin de sa patronne avec son avant-bras, presque entièrement enfoui dans la matrice, touchant parfois de son poing fermé le col de lutérus, faisant défaillir de douleur la belle châtelaine, qui se garde bien de crier pour ne pas renoncer au bras de la gamine qui la pénètre avec tant dardeur. Exténuées toutes les deux par leurs débordements les deux furies sinterrompent soudain, recouvrant leur respiration avant de reprendre leurs esprits après cette folle démesure qui les a emmenées au-delà de la jouissance.
Lorsque Corinne est de nouveau lucide, elle est épouvantée par luvre de chair auquel elle vient de participer. Sa famille, très chrétienne, vivant dans un village perdu des montagnes de lArdèche, serait horrifiée si elle apprenait sa conduite indigne. Soudain, des larmes séchappent de ses beaux yeux verts et elle sanglote éperdument, honteuse de ce quelle sest permis de faire à la comtesse et de lui avoir laissé voir et touché ses parties intimes pour des agissements réprouvés par la morale. Gaëlle sest bien aperçu des états dâme de sa camériste. Aussi, la prenant dans ses bras, elle la berce et la console, lui disant quelle est très jolie, quelle oublie dès à présent la subtilisation de son collier, quelle nen parlera à personne, même pas à son mari.
Pour cela par contre, il faut quelle garde le secret sur leurs relations, qui sont toutes naturelles lui dit-elle. Dailleurs, elle est trop jeune pour se faire mettre enceinte par un garçon, elle lassure quelle lui apprendra toutes les facettes de lamour et quelle sera ainsi prête pour le mariage sans perdre son précieux pucelage. La jeune fille, à moitié rassurée se blottit dans les bras de la comtesse qui caresse ses cheveux roux et lui dit quil est maintenant temps de dormir et quelle peut rester avec elle cette nuit. Les deux femmes étroitement enlacées sendorment bientôt. Gaëlle heureuse de sentir le jeune corps chaud de la pucelle contre sa gorge et Corinne, sa tête posée sur un sein de sa maîtresse, serait presque tentée de téter le mamelon dont le bourgeon est encore érigé par lexcitation à peine retombée de la belle comtesse
À suivre
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